Ely en recherche de proie

La nuit était tombée depuis quelques heures. Les belles rues de Paris étaient désertes et l'on entendait que le clocher de la célèbre cathédrale retentir. Le ciel était sombre mais éclairé et la lune blanchâtre était pleine. Il faisait froid, très froid, un froid à se glacer le sang... Et un épais brouillard dominait la ville lumière.

Quand au loin, un cri se fit entendre, qu'était-ce ? L'on put appercevoir la grande porte s'ouvrir et une ombre se profiler à l'interieur. Cette ombre avait un air macabre bien avant que l'on l'approche. C'était une ombre de femme, une ombre froide et fine. Cette femme portait un long manteau de cuir noir, et des cheuveux bouclés de même couleur. Elle avait les yeux bleus plus profonds et clair que personne et paraissait infiniement belle. Quand elle ouvrit sa bouche de ses lèvres fines et bien dessinées, des dents pointues se firent voir et l'on entendi comme un murmure :

-"Où es-tu ?"

Quand sur sa bouche se dessina un léger sourire, un sourire inquiétant :

-"Me ferais-tu des cachoteries ?"

Puis la femme s'approcha de la grande statue représentant Jésus Christ et elle lui chuchota :

-"J'ai faim tu sais..."

Quand tout à coup, la statue commença à être en sang et la jeune femme éffleura celle-ci, léchant le sang qui coulait en pensant :

**J'aurais fait plus frais mais c'est déjà pas mal...**

Elle prenait un air complètement ailleur, continuant à lécher l'oriffice. Pourtant il n'y avait personne pour l'arrêter dans son sacrilège, et le sang continuait de couler des yeux de la statue. Elisha prenait du plaisir à goûté ce sang divint qu'elle ne savait trop égaler.

dans le ciel, le nuit se fit plus intense: des nuages arriva et éclata de leur grande puissance: des éclairs détruisait le ciel de leur éclats flamboyants, et résonnait dans toute la ville, jusque dans la cathédrale légendaire.

au dessus de la cathédrale, sur son plus haut point, une faille espace-temps s 'ouvrit dans le noir intense: comme un troun oir aspirant le pique de l'aile de la cathédrale.
sur la pointe de l'aile, un homme apparu enfin, vétu d'un long manteau noir, et d'une capuche cachant son visage.

l'homme sauta de plusieurs mètres, et se rattrapa à une des corniche inférieur de la cathédrale: il sauta, comme si le temps autour de lui s'était arrété: il sauta dans les airs, et commença a descendre: les oiseaux ne bougeait pu, rien ne bougaient autour de lui: il retombit au bas de la cathédrale, les yeux plein de sagesse et de mystère.

son identité, il l'a caché, pour l'instant, personne ne devait le savoir

il marcha, sans bruit, et il arriva prés de la jeune femme: il se mit contre un des murs prés de la statue, et le temps revint a la normal.

" je crois que ce sang est sacré, et la mort ne peut en connaitre les vertus"

il regarda la jeune femme, un air calme et détendu

Ely continuait à lécher l'éffigie d'un air cannibal, quand une ombre se profila à ses côtés, d'un air macabre et froid elle regarda l'homme :

-"Qu'est-ce que la mort ?"

Elle s'approcha de lui doucement, comme une hienne qui tourne après sa proie, la bouche couverte de sang :

-"Cela fait bien longtemps que l'on me qualifie de morte..."

" la mort ne peut ni se nommé, ni se définir, elle est la, sans qu'on le veuille et qu'on la voye, elle le l'ennemi de la vie, et la liberation de toutes douleurs"

chronos regarde cette vampire qui lui tourné autour: si elle savait que en lui, aucun sang ne coulait, et ce qu'il était, elle ne se comporterai surement pas comme cela: cela l'amusé un peu a vrai dire.

" vous n'etes pas une morte, mais un être différent des humains ordinaire"

il regarda la jeune femme, et la fixa

Les yeux bleus pratiquement blancs du vampire firent un reflet sur le mur :

-"La mort n'est qu'un sens de vie."

Puis elle s'approcha doucement de l'homme :

-"Je ne ressens pas votre coeur battre en vous."

" tous simplement car je n'ai pas de coeur"

il s'asseya sur le rebord de la statue du christ, et il ouvrit ses veines: de ces veines, rien ne sortit: aucun sang ni bout de peau.

" la mort et la vie ne sont que des principes créer par l'homme pour ne pas avoir peur de ce qu'il sont au fond d'eux"

il sortit un livre, une bible

" comme ce livre, qui enumére des faits qui nous jamais eu lieu dans la plupart des cas"

D'un regard ailleur elle prit une goutte de sang avec le doigt qui coulait encore sur la statue et la lécha :

-"C'est pas que je m'ennuie mais j'ai mieux à faire..."

Elle mordilla ses lèvres et commença à se dirriger vers la porte de sortie.

" aurevoir"

il partit de son coté